L'actualité estivale concernant les incendies de Gironde a mis en alerte la France entière ; destruction massive de la forêt, dégâts matériels importants, évacuation des populations sont les conséquences immédiates et les plus visibles. Mais qu'en est-il de la qualité de l'air ? Que respirent depuis plus d'une semaine les habitants proches des incendies ? Le fonds de l'air est-il dangereux ? Pour combien de temps ? Quelles peuvent être les conséquences sur la santé ? Que cachent donc ces colonnes de fumée ?
Les feux de forêt réduisent en cendres des milliers d'hectares avec un impact dramatique sur l'environnement. Mais il est tout aussi important de comprendre l'impact de ces incendies sur la pollution de l'air et donc sur notre santé.
Les fumées émanant des feux de forêt constituent de véritables cocktails toxiques pour la santé. Si les fumées noires extrêmement toxiques peuvent être à l'origine d'asphyxies, capables dans les cas les plus graves d'entraîner le décès à très court terme ; les fumées blanches présentent un danger à plus long terme.
Bien que la composition des fumées résulte de la nature de ce qui brûle, du taux d'humidité de l'air ou encore des conditions de combustion, on en recense de très nombreuses substances chimiques potentiellement dangereuses. Parmi celles-ci, citons les particules, les composés organiques volatils et semi-volatils, le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde de carbone (CO2), les oxydes d'azote (NOx) et bien d'autres.
Deux polluants de l'air sont particulièrement alarmant compte tenu de l'importance de leurs émissions et de leurs effets sur la santé.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore et inodore. Il est produit par la combustion incomplète de matières organiques notamment par les feux de forêt. Les niveaux les plus élevés sont observés durant les phases de combustion lente, en particulier à proximité des incendies. Les pompiers y sont particulièrement exposés.
Le monoxyde de carbone se fixe à la place de l'oxygène sur l'hémoglobine du sang, conduisant à un manque d'oxygénation du système nerveux, du cœur, des vaisseaux sanguins. Une exposition prolongée peut entraîner un coma voire la mort.L'impact sanitaire des incendies de Gironde est encore mal connu en raison des nombreuses substances chimiques recensées dans la composition des fumées de biomasse. Toutefois, une étude de l'ANSES parue en 2012 indiquait déjà que les PM10 des fumées de feux de forêt peuvent être considérées comme au moins aussi toxiques pour la santé respiratoire à court terme que les PM10 de source urbaine. Enfin, les personnes les plus sensibles sont les populations atteintes de pathologies respiratoires, notamment les asthmatiques.
Environ 80% sont des particules fines (diamètre < 2,5 µm) dont une majorité sont des particules submicroniques. Les particules fines peuvent facilement se propager sur de longues distances, parfois plusieurs centaines de kilomètres. En quelques heures à quelques jours, les niveaux atteints de particules dans l'air ambiant peuvent devenir très élevés et avoir un impact à l'échelle régionale.
L'effet des particules sur la santé dépend de leur diamètre. Lorsqu'il est supérieur à 10 µm, elles sont arrêtées et éliminées au niveau du nez et des voies respiratoires supérieures. Inférieur à 10µm, elles peuvent pénétrer plus profondément dans l'appareil respiratoire et agir dans le déclenchement de crises d'asthme ou la hausse du nombre de décès pour cause cardio-vasculaire ou respiratoire, notamment chez les personnes les plus sensibles.
Face aux dangers de la pollution de l'air due aux feux de forêts, le réflexe humain de sauvegarde est bien entendu de vous calfeutrer chez vous pourvu que votre maison ne soit pas en danger immédiat des flammes.
Or, la toxicité de l'air extérieur saturé de substances chimiques peut facilement pénétrer dans les maisons, via les ouvertures et diverses interstices structurelles. Il est parfois facile de s'en apercevoir lorsque flotte à l'intérieur une odeur de fumée ou que l'air semble plus opaque, épais, brumeux... Parfois ces signaux d'alerte sont moins visibles.
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